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Depuis maintenant plus de quatre décennies, la plus grande organisation représentant le sport du football dans le monde entier n’est connue pas seulement pour le football, mais parallèlement pour sa cupidité, sa corruption, et sa culture de népotisme toxique. Ce fait a été révélé au grand public en 2015 avec une opération du FBI qui menait aux arrêts de plus de 15 officiels à la tête de FIFA, et des nombreuses condamnations pénales, dont plusieurs qui sont normalement réservées pour les membres de la mafia ou des cartels de drogue mexicains.

Au paroxysme de ses magouilles, un des points les plus contestés par le grand public était la décision prise en 2009 de nommer les hôtes des coupes du monde de 2018 et 2022 comme la Russie, et Qatar, deux pays avec de sales dossiers concernant les droits humains, et traditionnellement – surtout dans le cas de Qatar – peu de rapport avec le football.

Avec l’arrivée des jeux de 2022, le contrecoup public a été énorme, avec de nombreux appels de boycotter les jeux au Qatar, avec même la maire de Paris refusant de diffuser les jeux en publique sur de grands écrans aux champs Élysées, ce qui était auparavant habituellement le cas pendant la coupe du monde.

Découvrez davantage sur les scandales et enjeux politiques remués par l’ouverture des jeux au Qatar; là où, pour une fois, la phrase « le monde entier regarde » n’est pas du tout une exagération.

Bonne écoute !